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Critique de LoupAlunettes
Le jeu de points de couleurs sympathiquement impulsé avec "Dans la cour de l'école " est relancé.
Une idée bien vue pour apprendre à compter,
le chiffre s'affichant d'un côté,
les enfants étant invités à compter et vérifier la correspondance de l'autre.
Cette page imite une face de dé à jouer.
Christophe Loupy, l'auteur, imagine une histoire qui fait suite au premier album, la rentrée en classe après le temps de la récré.
Les élèves, filles et garçons, sont distingués par les couleurs bleues et roses et figurés par les points du "dé".
Les positions se justifient par une histoire, chaque élève à une préférence sur le tapis "carré de dé"
ou préfère s'asseoir près d'un(e) copin(e ) comme dans une salle de classe de maternelle.
Et cela fonctionne, arrive Émilie, Chloé, Hugo, Lucas etc..jusqu'à atteindre le chiffre 10,
où la maîtresse de sa rondeur violette viendra clore la mise en place des élèves.
Pour aller jusqu'à 10, il faut deux dés,
ainsi s'éclipse le chiffre sur l'espace de gauche dédié aussi au texte et apparaît un nouveau dé où gravitent la maîtresse et de nouveaux élèves pour assurer l'animation chant qui commence.
Les points s'évadent un peu des limites fixées. Nous remarquons que le texte avait aussi commencé à prendre ses libertés et glisser sur la page de droite, encadrant sur les deux pages, parallèlement, les espaces ponctués de couleurs.
C'est un sacré remue-ménage où les couleurs se mettent dans l'ordre ou le désordre, où s'invitent une nouvelle maîtresse...
D'une belle ingéniosité et tout en simplicité dans sa présentation, une histoire à raconter et en même temps un temps de jeu qui se prolonge après le temps de la cour de l'école.
Deux albums à coupler ou lire séparément.
Très chouette.
Une idée bien vue pour apprendre à compter,
le chiffre s'affichant d'un côté,
les enfants étant invités à compter et vérifier la correspondance de l'autre.
Cette page imite une face de dé à jouer.
Christophe Loupy, l'auteur, imagine une histoire qui fait suite au premier album, la rentrée en classe après le temps de la récré.
Les élèves, filles et garçons, sont distingués par les couleurs bleues et roses et figurés par les points du "dé".
Les positions se justifient par une histoire, chaque élève à une préférence sur le tapis "carré de dé"
ou préfère s'asseoir près d'un(e) copin(e ) comme dans une salle de classe de maternelle.
Et cela fonctionne, arrive Émilie, Chloé, Hugo, Lucas etc..jusqu'à atteindre le chiffre 10,
où la maîtresse de sa rondeur violette viendra clore la mise en place des élèves.
Pour aller jusqu'à 10, il faut deux dés,
ainsi s'éclipse le chiffre sur l'espace de gauche dédié aussi au texte et apparaît un nouveau dé où gravitent la maîtresse et de nouveaux élèves pour assurer l'animation chant qui commence.
Les points s'évadent un peu des limites fixées. Nous remarquons que le texte avait aussi commencé à prendre ses libertés et glisser sur la page de droite, encadrant sur les deux pages, parallèlement, les espaces ponctués de couleurs.
C'est un sacré remue-ménage où les couleurs se mettent dans l'ordre ou le désordre, où s'invitent une nouvelle maîtresse...
D'une belle ingéniosité et tout en simplicité dans sa présentation, une histoire à raconter et en même temps un temps de jeu qui se prolonge après le temps de la cour de l'école.
Deux albums à coupler ou lire séparément.
Très chouette.
