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Critique de gwendal
En premier lieu je voudrais remercier Babelio et Folio Sf qui m'ont permis de lire ce livre via l'opération Masse critique.
Mon parcours dans la lecture de Latium fut plus que chaotique.
Dans un premier temps une grande difficulté à rentrer dans l'histoire, pas de possibilité d'identification, pas d'empathie avec les personnages centraux, cela du fait de la nature de ces personnages sans doute, des Intelligences Artificielles et des Hommes-Chiens. A cela s'ajoute des décrochages permanents de l'histoire à cause des parties verbeuses immanquablement bourrées de références dont, à l'évidence, je manque, tellement j'ai levé les yeux au ciel et soufflé de dépit n'y trouvant pas mon compte. L'utilisation de termes grecs et latins dans le récit avec notes en bas de page ont aussi perturbé mon immersion. le décalage entre la modernité de l'univers des IA et l'utilisation de termes antiques, compréhensibles au final pour les hommes-chiens mais globalement toujours un mystère pour moi au sujet des IA, m'a fait trop souvent faire le pas de côté fatal me sortant du récit.
Et pour autant tout n'est pas à jeter dans cette oeuvre, des moments très intéressants (les "rêves" de Plautine qui lui permettent une analyse différente d'événements passés, entre autre), des pistes de réflexions sur l'évolution et un monde post humanité intriguant et pas dénué d'intérêt.
Au final et malheureusement pour moi, les points négatifs ont supplantés les points positifs. Pour être complétement honnête, sans le devoir de faire cette critique, j'aurais certainement arrêté ma lecture au milieu de ce premier tome. La suite se fera donc sans moi.
Mon parcours dans la lecture de Latium fut plus que chaotique.
Dans un premier temps une grande difficulté à rentrer dans l'histoire, pas de possibilité d'identification, pas d'empathie avec les personnages centraux, cela du fait de la nature de ces personnages sans doute, des Intelligences Artificielles et des Hommes-Chiens. A cela s'ajoute des décrochages permanents de l'histoire à cause des parties verbeuses immanquablement bourrées de références dont, à l'évidence, je manque, tellement j'ai levé les yeux au ciel et soufflé de dépit n'y trouvant pas mon compte. L'utilisation de termes grecs et latins dans le récit avec notes en bas de page ont aussi perturbé mon immersion. le décalage entre la modernité de l'univers des IA et l'utilisation de termes antiques, compréhensibles au final pour les hommes-chiens mais globalement toujours un mystère pour moi au sujet des IA, m'a fait trop souvent faire le pas de côté fatal me sortant du récit.
Et pour autant tout n'est pas à jeter dans cette oeuvre, des moments très intéressants (les "rêves" de Plautine qui lui permettent une analyse différente d'événements passés, entre autre), des pistes de réflexions sur l'évolution et un monde post humanité intriguant et pas dénué d'intérêt.
Au final et malheureusement pour moi, les points négatifs ont supplantés les points positifs. Pour être complétement honnête, sans le devoir de faire cette critique, j'aurais certainement arrêté ma lecture au milieu de ce premier tome. La suite se fera donc sans moi.
