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Critique de lalahat
Jean-Claude Lumet a publié pas mal de romans d'humour qui ont pour héros William Poire. Whisky et Tonnerre de Brest appartient à une autre série, moins prolifique, qui met en scène l'inspecteur Duchêne.
Dans cet opus, il est retraité et évoque des souvenirs des années 60. Il s'agit d'une enquête menée à l'Auberge de la Lande, qui a depuis disparu. le patron, Ernest Inguruko, est un personnage haut en couleurs, d'origine basque. Parmi sa clientèle, l'écossais Mac Intosh occupe une place centrale. le cadavre tarde à se montrer. C'est le cambriolage du Crédit Mutuel et le pillage des troncs de l'église qui occupe la police pour commencer. L'inspecteur Duchêne va s'infiltrer au sein de l'auberge pour officier avec maestria.
Le sourire est assuré pour qui souhaite occuper un petit peu de son temps à cette lecture facile. le roman est bref, enlevé, jovial. L'atmosphère est bon enfant, comme dans les meilleurs opus d'Agatha Christie ou de Pascal Thomas. L'action se déroule en huis clos et dans un temps très condensé, au coeur des terres bretonnes.
S'il y a quelques lourdeurs dans les dialogues, elles sont parfaitement assumées et revendiquées par l'auteur. Son humour repose sur des jeux de mots, des situations cocasses, et un comique de répétition.
En une pirouette finale Jean-Claude Lumet termine sur un "tout est bien qui finit bien ". Il annonce aussi de prochaines aventures en Ecosse avec Mac Intosh.
Dans cet opus, il est retraité et évoque des souvenirs des années 60. Il s'agit d'une enquête menée à l'Auberge de la Lande, qui a depuis disparu. le patron, Ernest Inguruko, est un personnage haut en couleurs, d'origine basque. Parmi sa clientèle, l'écossais Mac Intosh occupe une place centrale. le cadavre tarde à se montrer. C'est le cambriolage du Crédit Mutuel et le pillage des troncs de l'église qui occupe la police pour commencer. L'inspecteur Duchêne va s'infiltrer au sein de l'auberge pour officier avec maestria.
Le sourire est assuré pour qui souhaite occuper un petit peu de son temps à cette lecture facile. le roman est bref, enlevé, jovial. L'atmosphère est bon enfant, comme dans les meilleurs opus d'Agatha Christie ou de Pascal Thomas. L'action se déroule en huis clos et dans un temps très condensé, au coeur des terres bretonnes.
S'il y a quelques lourdeurs dans les dialogues, elles sont parfaitement assumées et revendiquées par l'auteur. Son humour repose sur des jeux de mots, des situations cocasses, et un comique de répétition.
En une pirouette finale Jean-Claude Lumet termine sur un "tout est bien qui finit bien ". Il annonce aussi de prochaines aventures en Ecosse avec Mac Intosh.
