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Critique de Tandarica


Puisque « les explications ne servent à rien dans une séparation » il apparaît en effet plus sage d'aller boire une bière. Résonne alors pour moi, l'écho amusant d'une anecdote sur le chanteur du groupe Meat loaf qui disait « Who am I, Why am I here? Forget the questions! Someone gimme another beer! ». La bière est bien la belle blonde des hommes comme Andi et dans une certaine mesure (sans jeu de mots aucun!) elle permet de sauver son âme bien (ou parce ) qu'elle brûle moins la gorge que la vodka (la vraie de vraie) ou le « truculent » breuvage offert par Tacké en l'honneur du surprenant « sponsor austalien » (page 244). Toute « clarté effrayante » ne peut être que farce?
Ses « jambes arachnéennes », la femme (et peu importe qu'elle soit une sacrée inconnue posant pour Susan Fox, le personnage de Magda, ou une soeur pocaïte) « devait les laver dans le goulet d'une bouteille d'eau-ou d'une bouteille de lait » (page 210) pense Andi. Vous savez, de celles que j'utilisais enfant en guise de tire-lire, car parfaites pour les pièces légères de 5 lei.
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