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Critique de MarionJL
J'aime vraiment beaucoup cette série de bande dessinées que je relis toujours avec grand plaisir. Je trouve qu'elle allie ce qu'il faut d'humour et de tendresse, tout en parlant de phénomènes sociétaux importants : le rapport à la vieillesse, au travail, les problèmes environnementaux, la transmission.
Dans ce tome, on découvre l'île de la Tordue et son fonctionnement anarchiste (l'anarchie “c'est l'ordre moins le pouvoir”), centre névralgique du collectif “ni yeux ni maîtres” et on suit Pierrot qui recherche son vieil amour de jeunesse Anita.
On découvre surtout l'histoire de Nauru, dans un formidable spectacle de marionnettes, qui permet de sensibiliser les enfants aux problématiques environnementales à travers une petite île perdue au milieu du pacifique qui en 60 ans a vécu un désastre écologique et social suite à une exploitation non durable du phosphate. Rien que pour cette dernière partie, je trouve que cette BD est à mettre entre toutes les mains.
Dans ce tome, on découvre l'île de la Tordue et son fonctionnement anarchiste (l'anarchie “c'est l'ordre moins le pouvoir”), centre névralgique du collectif “ni yeux ni maîtres” et on suit Pierrot qui recherche son vieil amour de jeunesse Anita.
On découvre surtout l'histoire de Nauru, dans un formidable spectacle de marionnettes, qui permet de sensibiliser les enfants aux problématiques environnementales à travers une petite île perdue au milieu du pacifique qui en 60 ans a vécu un désastre écologique et social suite à une exploitation non durable du phosphate. Rien que pour cette dernière partie, je trouve que cette BD est à mettre entre toutes les mains.
