Je n'ai pas retrouvé dans cet album ce que j'aimais tant dans les tomes précédents :la dérision, le côté Far West, le côté burlesque de
Lupano, l'envie de passer un message, certes utopique mais tellement souhaitable !
Cette fois-ci, nous nous retrouvons à Washington D.C. le ton se politise et chacun tente de tirer le meilleur parti de la situation. C'est beaucoup plus sérieux, moins rocambolesque. On sent que
Lupano a surtout envie de tirer à boulets rouges sur cette Amérique qui prône la loi du plus fort et qui autorise le port d'armes. Il a raison, certes mais je préfère quand il le fait avec cynisme et ce petit grain de folie qui caractérise certains de ses scénarii.
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