On peut se demander l'intérêt de réécrire l'histoire de Fanny Hill de cette manière-là. Ca n'apporte pas d'eau au moulin, il n' y a rien de croustillant. Heureusement le livre est court - la préface de
Francis Lacassin et l'introduction de l'auteur étant quasi aussi longues que le roman lui-même.
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