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Critique de RyzLit
Dans ce livre nous suivons Zelda, une jeune femme pleine de ressources, atteinte d'alcoolisme foetal, passionnée de vikings et qui veut réaliser sa légende.
Elle vit avec son frère Gert qui, tant bien que mal essaye de vivre son rôle de tuteur auprès de cette soeur différente. Pour se faire, Gert prend parfois de mauvaises décisions qui auront des répercussions sur Zelda.
Zelda est la narratrice de ce roman. Ses mots sont à la fois naïfs et traduisent les maux dont elle souffre mais ils sont également plein de sens car Zelda est beaucoup plus intelligente et autonome que ce que les autres peuvent penser.
"Je suis une viking" est un roman qui peine à prendre vie, l'attente est longue avant que l'action ne vienne et permette enfin à Zelda de montrer sa valeur, et au roman de gagner en intérêt.
J'ai eu du mal à croire en l'histoire, tout étant tellement simple dans la narration jusqu'au chapitre 18. Après cela, le livre prend un autre tournant, se complexifie et gagne en intensité.
J'ai parfois été gênée par l'incohérence de certains propos : d'un côté on combat les préjugés sur les femmes en les comparant à des combattants tout aussi capables que les hommes et de l'autre on reste en plein cliché où on nous indique que lors d'un entretien d'embauche il faut y aller en jupe, mettre des collants, se raser les jambes, porter des vêtements peu confortables car c'est normal, "C'est le dur fardeau de la femme".
Un roman intéressant mais pas passionnant qui aura le mérite de faire connaître le syndrome de l'alcoolisme foetal.
Elle vit avec son frère Gert qui, tant bien que mal essaye de vivre son rôle de tuteur auprès de cette soeur différente. Pour se faire, Gert prend parfois de mauvaises décisions qui auront des répercussions sur Zelda.
Zelda est la narratrice de ce roman. Ses mots sont à la fois naïfs et traduisent les maux dont elle souffre mais ils sont également plein de sens car Zelda est beaucoup plus intelligente et autonome que ce que les autres peuvent penser.
"Je suis une viking" est un roman qui peine à prendre vie, l'attente est longue avant que l'action ne vienne et permette enfin à Zelda de montrer sa valeur, et au roman de gagner en intérêt.
J'ai eu du mal à croire en l'histoire, tout étant tellement simple dans la narration jusqu'au chapitre 18. Après cela, le livre prend un autre tournant, se complexifie et gagne en intensité.
J'ai parfois été gênée par l'incohérence de certains propos : d'un côté on combat les préjugés sur les femmes en les comparant à des combattants tout aussi capables que les hommes et de l'autre on reste en plein cliché où on nous indique que lors d'un entretien d'embauche il faut y aller en jupe, mettre des collants, se raser les jambes, porter des vêtements peu confortables car c'est normal, "C'est le dur fardeau de la femme".
Un roman intéressant mais pas passionnant qui aura le mérite de faire connaître le syndrome de l'alcoolisme foetal.
