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Critique de fnitter


Space opéra complexe et exigeant.
2303. L'humanité vit dans un système communiste (sans le côté pervers et politique que nous, nous avons connu, toute notion de capitalisme a disparu), essentiellement dans des habitats orbitaux. La terre se régénère et est laissée aux no-co (ceux qui n'acceptent pas l'union solaire). de l'autre côté, des décorporés ayant subit la singularité se remettent à jouer un rôle sur Jupiter au grand dam de la division Cassini, bras armé de l'union solaire, dont l'objectif est de contenir la menace Jovienne. S'ajoute à cela une nouvelle civilisation post-humaine à 10.000 années lumière et 10.000 ans dans le futur, mais à deux pas de notre système solaire par un trou de ver crée par d'anciens post-humains.

Ouf… Comme le titre l'indique, même dans le cadre d'un texte court, la lecture est assez exigeante. Vous aurez la réponse à la vie, l'univers et tout le reste, et ce n'est pas 42.
Cela étant, le récit n'est pas dénué de charme et j'ai bien aimé suivre les tribulations de notre héroïne, figure majeure de la division Cassini. Entrecoupé de quelques flashbacks explicatifs et autres morceaux choisis de l'auteur sur sa vision de la vie, l'histoire n'est pas dénuée de rythme, d'action et même de panache parfois. On est loin d'une sf militaire à la David Weber ou à la Tanya Huff, mais le livre se laisse lire.
Mention spéciale au Scaph, meilleur ami, nounou, protecteur et arme à la fois. Digne du superflingue de Sven Tveskoeg de D. Gunn.

Singularité, téléchargés, post-humains, la conscience est-elle encore l'apanage de l'humanité ? MacLeod explore pas mal de pistes et on sent qu'il en a encore pas mal sous la pédale (son second livre la veillée de Newton reprendra les mêmes thèmes, même si je n'ai pas aimé ce second tome).
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