"
Ne reste que la violence" conclut splendidement la trilogie entamée avec "
Il faut tuer Lewis Winter" et poursuivie avec "
Comment tirer sa révérence". Une fois encore, sans esbroufe, et une efficacité inversement proportionnelle à l'économie du style, Malcom MacKay construit un récit haletant, parcouru d'une tension dramatique constante, que pimentent machinations, trahisons, et manipulations d'un petit monde de truands cyniques, obsédés par le pouvoir et hantés par le paraître de leur puissance. du noir, et du très bon.
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