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Critique de simonjean
Ayant apprécié «Te laisser partir» , le premier roman de Clare Mackintosh , je me suis plongé dans celui-ci dès sa parution en poche .
Et là , j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire . Dans les 120 premières pages , il ne se passe rien , ou presque .
L'héroïne , Zoé , parle d'elle , de ses enfants , de sa maison (des combles aménagés ) , de son travail , des difficultés financières du café où travaille son fils … bref , j'ai trouvé le temps un peu long ! J'avais envie qu'il se passe quelque chose .
L'histoire commence (enfin !) à s'animer page 126 , quand un premier meurtre est commis .
Qui fait publier la photo de jeunes femmes dans le journal , (à la rubrique téléphone rose ) , celles-ci étant assassinées quelques jours plus tard ? Qui administre un site internet décrivant à ses abonnés pervers le trajet que font ces jeunes femmes chaque jour dans le métro londonien ? Zoé , s'étant reconnue dans le journal , prend peur ; la police entre en action et l'enquête va pouvoir commencer .
Il m'a fallu atteindre la moitié du roman pour être vraiment accroché par l'intrigue ! L'auteur nous décrit les états d'âme de l'enquêtrice et cela n'apporte pas grand chose à l'histoire .
Les dernières pages sont palpitantes et jusqu'à la fin , on n'est pas au bout de ses surprises !
En résumé : une bonne histoire qui aurait gagné en efficacité si elle avait été un peu plus courte et si on entrait un peu plus vite dans le coeur de l'action .
Et là , j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire . Dans les 120 premières pages , il ne se passe rien , ou presque .
L'héroïne , Zoé , parle d'elle , de ses enfants , de sa maison (des combles aménagés ) , de son travail , des difficultés financières du café où travaille son fils … bref , j'ai trouvé le temps un peu long ! J'avais envie qu'il se passe quelque chose .
L'histoire commence (enfin !) à s'animer page 126 , quand un premier meurtre est commis .
Qui fait publier la photo de jeunes femmes dans le journal , (à la rubrique téléphone rose ) , celles-ci étant assassinées quelques jours plus tard ? Qui administre un site internet décrivant à ses abonnés pervers le trajet que font ces jeunes femmes chaque jour dans le métro londonien ? Zoé , s'étant reconnue dans le journal , prend peur ; la police entre en action et l'enquête va pouvoir commencer .
Il m'a fallu atteindre la moitié du roman pour être vraiment accroché par l'intrigue ! L'auteur nous décrit les états d'âme de l'enquêtrice et cela n'apporte pas grand chose à l'histoire .
Les dernières pages sont palpitantes et jusqu'à la fin , on n'est pas au bout de ses surprises !
En résumé : une bonne histoire qui aurait gagné en efficacité si elle avait été un peu plus courte et si on entrait un peu plus vite dans le coeur de l'action .
