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Critique de LaurentSergeMaero
J'aimerai vous parler d'un recueil "Voyage au sud de ma vie" dont le nom de l'auteur, Laurent Maero, ne m'est pas inconnu. Non, ce n'est pas moi, il s'agit d'un parfait homonyme que j'ai eu le plaisir de rencontrer il y a peu. Et savez-vous quoi ? Nos arbres généalogiques attestent que nous sommes cousins.
L'homme a toujours aimé écrire, depuis l'âge de 12 ans, il rédige, sur un carnet ou sur des petits bouts de papier, tout ce qui lui passe par la tête. Il a ainsi consigné au fil des saisons, ses pensées, les rencontres qui ont émaillé son chemin, des moments de vie et pléthore d'anecdotes où la truculence le dispute à l'émotion.
Imaginez le courage et l'énergie déployés pour rassembler presque un demi-siècle de notes, les choix déchirants du type : ça, je le garde, ça non, à moins que, bon finalement, je le conserve, mais pas ça, etc. Cela a dû être kafkaïen !
En lisant les tous premiers chapitres de "Voyage au sud de ma vie", ce qui m'a frappé, c'est la subtilité du style narratif, mis au service de la diversité des récits. Je me rappelle d'ailleurs m'être fait la réflexion : mais pourquoi le titre de l'oeuvre n'est-il pas au pluriel ? "Voyages au sud de ma vie", aurait été préférable. Puis, j'ai continué ma lecture...
Des paysages d'Italie, de Corse, d'Ardèche ou du port de Cassis ont défilé sous mes yeux conquis. D'authentiques personnages, rencontrés ça est là, ont envahi mon univers. Des moments de joie, d'émotion, m'ont happés peu à peu. Mais c'est l'hommage vibrant à un père aujourd'hui disparu qui m'a le plus bouleversé, que d'amour !
Et soudain, ô miracle. Je me suis enfin rendu compte qu'il y avait dans ce bouquin une forme chronologique induite qui emmenait le lecteur à l'essentiel : l'histoire d'une vie !
Alors cher cousin, c'est bien volontiers que je bats ma coulpe, que je me morigène, que je cherche partout un cilice pour me fouetter et expier ma faute, car le titre que tu as choisi ne pouvait être plus adapté.
"Voyage au sud de ma vie" est un livre qui rapproche les hommes, car il fait le lien entre les générations, on peut donc dire, à juste titre, qu'il touche à l'universel.
Alors n'hésitez-pas, lisez-le !
L'homme a toujours aimé écrire, depuis l'âge de 12 ans, il rédige, sur un carnet ou sur des petits bouts de papier, tout ce qui lui passe par la tête. Il a ainsi consigné au fil des saisons, ses pensées, les rencontres qui ont émaillé son chemin, des moments de vie et pléthore d'anecdotes où la truculence le dispute à l'émotion.
Imaginez le courage et l'énergie déployés pour rassembler presque un demi-siècle de notes, les choix déchirants du type : ça, je le garde, ça non, à moins que, bon finalement, je le conserve, mais pas ça, etc. Cela a dû être kafkaïen !
En lisant les tous premiers chapitres de "Voyage au sud de ma vie", ce qui m'a frappé, c'est la subtilité du style narratif, mis au service de la diversité des récits. Je me rappelle d'ailleurs m'être fait la réflexion : mais pourquoi le titre de l'oeuvre n'est-il pas au pluriel ? "Voyages au sud de ma vie", aurait été préférable. Puis, j'ai continué ma lecture...
Des paysages d'Italie, de Corse, d'Ardèche ou du port de Cassis ont défilé sous mes yeux conquis. D'authentiques personnages, rencontrés ça est là, ont envahi mon univers. Des moments de joie, d'émotion, m'ont happés peu à peu. Mais c'est l'hommage vibrant à un père aujourd'hui disparu qui m'a le plus bouleversé, que d'amour !
Et soudain, ô miracle. Je me suis enfin rendu compte qu'il y avait dans ce bouquin une forme chronologique induite qui emmenait le lecteur à l'essentiel : l'histoire d'une vie !
Alors cher cousin, c'est bien volontiers que je bats ma coulpe, que je me morigène, que je cherche partout un cilice pour me fouetter et expier ma faute, car le titre que tu as choisi ne pouvait être plus adapté.
"Voyage au sud de ma vie" est un livre qui rapproche les hommes, car il fait le lien entre les générations, on peut donc dire, à juste titre, qu'il touche à l'universel.
Alors n'hésitez-pas, lisez-le !
