Une douceur bouleversante
Lucie est dans le coma, elle revenait d'une exposition consacrée au peintre lorsqu'elle a été victime d'un attentat.
C'est la voix de Lucie que l'on entend, elle s'éloigne, revient, repart, hésite à revenir auprès des siens. Elle est perdue.
Ses proches l'entourent et l'aident sans entendre sa voix.
L'écriture est bouleversante, les mots et les gestes sont enrobés de douceur au milieu de cette tragédie.
Les tableaux de
Gustav Klimt que Lucie a vus le jour de l'attentat ponctuent avec justesse le récit.
Merci pour ce roman riche en émotion.
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