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Critique de LoupAlunettes
Il y a 750 ans à Paris, nous n'y étions pas.
Nous pouvons lever la tête in situ et s'imaginer à quoi tout cela ressemblait il y a plusieurs siècles.
On peut se le demander aussi en province, se promener, observer, noter des restes de pierre, de bois, des noms de rue patinés d'ancien langage. A quelle époque appartenait tout cela?
Qu'est-ce qui a été conservé?
Comment ont-été intégré les nouveaux matériaux?
Il y a eu des incendies, ici et là? Vraiment?
Mais pourquoi?
Vincent Mahe ouvre une voie des réponses, donnent des éléments et des pistes de faits grâce à une façade.
Le lecteur sera archéologue ici, un détective de l'architecture, étudiant les indices laissés à travers les années. Il y a l'érection d'une bâtisse, puis celle d'un immeuble plus grand, au même endroit.
C'est une histoire de bois et de pierre, à croiser le fer aussi pour la petite ou la Grande Histoire à ses pieds. Ah, si les murs pouvaient parler.
De 1265 à 2015, les jeunes curieux vont constater les marques du temps, prendre conscience des préoccupations techniques pour voir venir et faire tenir des familles bien à l'abri.
L'architecture a connu beaucoup de changements, nous pouvons en attester ici avec ces plans de façade mouvants, induisant l'échange des idées, creusées, l'art des savoirs-faire qui s'améliorent, avec les moyens du lieu ou importés, qui sait.
Vincent Mahe donne dans la page d'Histoire accessible, rapide et ludique par son approche sans textes.
Comme un cinéaste qui aurait vécu les changements en témoin avec une vieille caméra imaginaire, l'auteur-illustrateur fait tourner la manivelle et les années passent, les décors se transforment, se montent, se démontent, les hommes et les femmes s'agitent.
Le changement est souvent venu d'agitation, de bouillonnements.
Les jeunes lecteurs le remarqueront à petite échelle d'homme.
Libre à eux de s'arrêter à une date ou une illustration qui les interpellent et de se renseigner dans les livres d'Histoire.
Une approche intéressante pour éveiller à la curiosité et se rapporter à la propre histoire de son lieu ou de ceux qui nous interpellent..
Nous pouvons lever la tête in situ et s'imaginer à quoi tout cela ressemblait il y a plusieurs siècles.
On peut se le demander aussi en province, se promener, observer, noter des restes de pierre, de bois, des noms de rue patinés d'ancien langage. A quelle époque appartenait tout cela?
Qu'est-ce qui a été conservé?
Comment ont-été intégré les nouveaux matériaux?
Il y a eu des incendies, ici et là? Vraiment?
Mais pourquoi?
Vincent Mahe ouvre une voie des réponses, donnent des éléments et des pistes de faits grâce à une façade.
Le lecteur sera archéologue ici, un détective de l'architecture, étudiant les indices laissés à travers les années. Il y a l'érection d'une bâtisse, puis celle d'un immeuble plus grand, au même endroit.
C'est une histoire de bois et de pierre, à croiser le fer aussi pour la petite ou la Grande Histoire à ses pieds. Ah, si les murs pouvaient parler.
De 1265 à 2015, les jeunes curieux vont constater les marques du temps, prendre conscience des préoccupations techniques pour voir venir et faire tenir des familles bien à l'abri.
L'architecture a connu beaucoup de changements, nous pouvons en attester ici avec ces plans de façade mouvants, induisant l'échange des idées, creusées, l'art des savoirs-faire qui s'améliorent, avec les moyens du lieu ou importés, qui sait.
Vincent Mahe donne dans la page d'Histoire accessible, rapide et ludique par son approche sans textes.
Comme un cinéaste qui aurait vécu les changements en témoin avec une vieille caméra imaginaire, l'auteur-illustrateur fait tourner la manivelle et les années passent, les décors se transforment, se montent, se démontent, les hommes et les femmes s'agitent.
Le changement est souvent venu d'agitation, de bouillonnements.
Les jeunes lecteurs le remarqueront à petite échelle d'homme.
Libre à eux de s'arrêter à une date ou une illustration qui les interpellent et de se renseigner dans les livres d'Histoire.
Une approche intéressante pour éveiller à la curiosité et se rapporter à la propre histoire de son lieu ou de ceux qui nous interpellent..
