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Critique de LoupAlunettes
Ca y est Nine "Leopoldine" a passé le cap de la Pré-Adolescence (rappelez-vous le tome précédent) et franchit (oulala!) le cap de l'adolescence, le temps d'un été.
Rappelez-vous aussi,
Nine confiait à son journal tous ses changements dans sa vie,
ses espérances, ces petites contrariétés.
Le temps d'un séjour en Sicile et voila,
des boutons et des petits seins se pointent, si l'on peut dire.
Nine a baptisé le phénomène cutané par un petit nom affectif,
étant donné que cela risque de durer un petit temps. "Chelmi" (Michel en verlan) qu'il s'appelle l'attaque bouton.
Et un coup sur le front puis sur le nez...'Perd rien pour attendre, celui-la.
Nine est parti en vacances avec la famille recomposée par sa maman (voir tome précédent) et évidement observe l'évolution du phénomène,
de la graine qui est planté, de la proximité accordée d'un nouveau parent à un enfant de conjoint (e).
La vie est toujours très instructive,
fun et pleine de surprise pour la jeune Nine.
Oui, elle grandit, elle dit enfin au revoir à son doudou lapin (rappelez-vous, encore!) et envisage plus de rapprochement masculin.
A propos de rapprochement et d'évolution familial,
Nine et Lardon "Léon" le petit frère s'inquiétaient, culpabilisaient de passer du temps avec la maman de nouveau en couple et de laisser le père seul.
Finalement, ça y est et elle nous raconte.
Enfin du moins le dit-elle à son journal.
Le cahier reste toujours intime, adoptant toujours la proximité du meilleur copain, incluant des petites légendes illustrées humoristiques afin d'être toujours au plus près de sa réflexion,
de sa joie,
de sa gêne voire de sa honte d'ado'.
Elle ne sera pas avare de descriptions pour ces découvertes diverses des charmes de la Sicile, attaquant la gastronomie à bras le corps, profitant du soleil (le soleil, c'st bon pour les boutons, ça?).
Et puis, elle embrayera aussitôt sur la rentrée en 5ème avec sa tant attendue vie d'ado vraie de vraie.
Quelle pipelette à l'écrit cette Nine!
Et toujours râleuse et impertinente. Ca, ça semblait le débuts de l'étape pré-ado'.
A présent, Nine vanne, à coups de références, de langage familier et super fun jeune.
Cela agace ses parents mais c'est plus fort qu'elle, le processus est enclenché, cher journal.
Elle ronchonne pour se donner un genre, elle ronchonne parce que ça sort plus vite de sa bouche que Nine ne l'aurait souhaité et le mal est fait.
Toujours dans la jolie contradiction, le ton utilisé par Géraldine Maillet reste juste.
Ses hormones, son drame, son nouveau bonheur.
"Pourquoi, c'est pas juste?", nous dit le titre.
Nine continue de se prendre joliment la tête, et prend celle de ses parents au passage, c'est l'âge, les trois votent que oui.
Mais finalement, Nine n'est-elle pas trop grande à présent pour écrire dans son fidèle journal?
Toujours aussi drôle et plaisant.
Rappelez-vous aussi,
Nine confiait à son journal tous ses changements dans sa vie,
ses espérances, ces petites contrariétés.
Le temps d'un séjour en Sicile et voila,
des boutons et des petits seins se pointent, si l'on peut dire.
Nine a baptisé le phénomène cutané par un petit nom affectif,
étant donné que cela risque de durer un petit temps. "Chelmi" (Michel en verlan) qu'il s'appelle l'attaque bouton.
Et un coup sur le front puis sur le nez...'Perd rien pour attendre, celui-la.
Nine est parti en vacances avec la famille recomposée par sa maman (voir tome précédent) et évidement observe l'évolution du phénomène,
de la graine qui est planté, de la proximité accordée d'un nouveau parent à un enfant de conjoint (e).
La vie est toujours très instructive,
fun et pleine de surprise pour la jeune Nine.
Oui, elle grandit, elle dit enfin au revoir à son doudou lapin (rappelez-vous, encore!) et envisage plus de rapprochement masculin.
A propos de rapprochement et d'évolution familial,
Nine et Lardon "Léon" le petit frère s'inquiétaient, culpabilisaient de passer du temps avec la maman de nouveau en couple et de laisser le père seul.
Finalement, ça y est et elle nous raconte.
Enfin du moins le dit-elle à son journal.
Le cahier reste toujours intime, adoptant toujours la proximité du meilleur copain, incluant des petites légendes illustrées humoristiques afin d'être toujours au plus près de sa réflexion,
de sa joie,
de sa gêne voire de sa honte d'ado'.
Elle ne sera pas avare de descriptions pour ces découvertes diverses des charmes de la Sicile, attaquant la gastronomie à bras le corps, profitant du soleil (le soleil, c'st bon pour les boutons, ça?).
Et puis, elle embrayera aussitôt sur la rentrée en 5ème avec sa tant attendue vie d'ado vraie de vraie.
Quelle pipelette à l'écrit cette Nine!
Et toujours râleuse et impertinente. Ca, ça semblait le débuts de l'étape pré-ado'.
A présent, Nine vanne, à coups de références, de langage familier et super fun jeune.
Cela agace ses parents mais c'est plus fort qu'elle, le processus est enclenché, cher journal.
Elle ronchonne pour se donner un genre, elle ronchonne parce que ça sort plus vite de sa bouche que Nine ne l'aurait souhaité et le mal est fait.
Toujours dans la jolie contradiction, le ton utilisé par Géraldine Maillet reste juste.
Ses hormones, son drame, son nouveau bonheur.
"Pourquoi, c'est pas juste?", nous dit le titre.
Nine continue de se prendre joliment la tête, et prend celle de ses parents au passage, c'est l'âge, les trois votent que oui.
Mais finalement, Nine n'est-elle pas trop grande à présent pour écrire dans son fidèle journal?
Toujours aussi drôle et plaisant.
