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Critique de natali33
On retrouve Louise et son papa branché, Victor.
Victor veut, cette fois, faire manger une bonne purée de carottes à son bébé. « Ca va être délicieux ! promet Victor ». Oui, mais voilà, Bébé Louise n'aime pas les carottes. Alors papa Victor invente toutes sortes de stratagèmes pour faire avaler une cuillérée : la « loco-carotte », le « pirate-patate » mais aussi le "morse-poireau moustachu" enfermé dans le placard. Ce qui chagrine fort Bébé Louise mais ne lui fait pas ouvrir la bouche pour autant !! Alors papa Victor invente une machine extraordinaire, le « Patat'omatic ». Cette machinerie astucieuse nous rappelle l'histoire du « Petit cochon qui n'arrivait pas à s'endormir dans le noir » d'Arthur Geiser, qui lui aussi, met au point un ingénieux mécanisme.
Les illustrations débordent toujours de petits détails craquants. L'histoire bien menée nous fait sourire de la coquinerie de Bébé Louise ; on fond littéralement de tendresse pour Victor.
Bravo.
Victor veut, cette fois, faire manger une bonne purée de carottes à son bébé. « Ca va être délicieux ! promet Victor ». Oui, mais voilà, Bébé Louise n'aime pas les carottes. Alors papa Victor invente toutes sortes de stratagèmes pour faire avaler une cuillérée : la « loco-carotte », le « pirate-patate » mais aussi le "morse-poireau moustachu" enfermé dans le placard. Ce qui chagrine fort Bébé Louise mais ne lui fait pas ouvrir la bouche pour autant !! Alors papa Victor invente une machine extraordinaire, le « Patat'omatic ». Cette machinerie astucieuse nous rappelle l'histoire du « Petit cochon qui n'arrivait pas à s'endormir dans le noir » d'Arthur Geiser, qui lui aussi, met au point un ingénieux mécanisme.
Les illustrations débordent toujours de petits détails craquants. L'histoire bien menée nous fait sourire de la coquinerie de Bébé Louise ; on fond littéralement de tendresse pour Victor.
Bravo.
