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Critique de FabtheFab
Dans la librairie Chez Willy on lit, la famille de petit peuple des Papiliers, les Glacé vivent dans plusieurs livres oubliés, il y a papi Georges, mamie Jeanine, les parents Gaspard et Eglantine et les enfants Barnabé et Eileen. Un client vient acheter les Trois histoires de James Oliver Curwwod dans lequel se trouve la chambre du jeune Barnabé. Barnabé est ainsi enlevé par Antoine Grosnours dit Tony. Tony retrouve ses complices Dédé, Jacqui et Marcel avec qui il projette de braquer la banque. Or dans les sous-sols de la banque se trouve aussi la maternité des Papiliers qui est aussi menacée par l'attaque des gangsters. La famille de Barnabé va tout mettre en oeuvre pour sauver son enfant et Barnabé va non seulement se libérer mais aussi engager une course contre la montre…
Quelle déception ! Nous avions tant aimé le roman de Lenia Major, caballeros. Cette histoire de petit peuple est laborieuse et bavarde, la narratrice intervient en permanence avec des adresses ridicules au lecteur, le prenant à parti, lui posant des questions en supposant que celui commet souvent des bêtises. C'est lourd !
Nous suivons deux intrigues entrelacées, celle du petit peuple et celle du bandit. Nous avons beaucoup de mal à suivre le petit peuple dont la taille semble soit imprécise, soit variable selon ses actions si bien que nous avons du mal à croire à l'intrigue. le langage volontairement outrancier du fatrassier Fabrice, les néologismes rendent la lecture difficile, heurtée et pénible. Enfin les références du narrateur adulte semblent s'adresser à de grands lecteurs alors que l'humour potache est du niveau des enfants de 8 à 10 ans.
C'est bien dommage car les romans de petits peuples fascinent beaucoup les enfants.
Quelle déception ! Nous avions tant aimé le roman de Lenia Major, caballeros. Cette histoire de petit peuple est laborieuse et bavarde, la narratrice intervient en permanence avec des adresses ridicules au lecteur, le prenant à parti, lui posant des questions en supposant que celui commet souvent des bêtises. C'est lourd !
Nous suivons deux intrigues entrelacées, celle du petit peuple et celle du bandit. Nous avons beaucoup de mal à suivre le petit peuple dont la taille semble soit imprécise, soit variable selon ses actions si bien que nous avons du mal à croire à l'intrigue. le langage volontairement outrancier du fatrassier Fabrice, les néologismes rendent la lecture difficile, heurtée et pénible. Enfin les références du narrateur adulte semblent s'adresser à de grands lecteurs alors que l'humour potache est du niveau des enfants de 8 à 10 ans.
C'est bien dommage car les romans de petits peuples fascinent beaucoup les enfants.
