Motivé par le choix du Comité de lecture qui donnait un coup de projecteur à
Andréï Makine, prix Goncourt en 95, et n'ayant jamais lu cet auteur, j'ai choisi au hasard "
Le crime d'Olga Arbélina".
Quelle déception! Cette histoire d'immigrée russe après la révolution dans son pays, qui se réfugie d'abord à Paris, puis dans un village de la banlieue, élevant après son divorce un enfant hémophile, m'a profondément ennuyé.
Les scènes répétitives, les fantasmes de cette femme devenue bibliothécaire, ses vagabondages entre imagination et réalité, ne m'ont pas du tout convaincu, malgré une écriture correcte.
Cela faisait longtemps que je n'avais eu autant de mal à terminer un bouquin!
Désolé pour les fans de
Makine!
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