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Critique de Fandol


Je viens de passer un bon moment avec une BD signée Pierre Makyo pour le scénario, Alessia Buffolo pour le dessin sans oublier Alessandra Dottori pour des couleurs très réussies, mais c'est surtout Obie dont la moitié du visage orne une couverture très attrayante qui m'a captivé comme il captivera, je l'espère les lecteurs de son âge.
Publiée par l'éditeur belge Kennes, cette BD propose, avec des dessins très expressifs, l'histoire du collégien Obie. J'ai été aussitôt intrigué et passionné, si bien que je suis frustré de ne pas pouvoir tout de suite lire le tome 2 (Mon pouvoir caché) dont la parution est annoncée pour juillet.
C'est donc le premier chapitre de Obie Koul, intitulé Un week-end sur deux chez mon père. Je ne révèlerai rien – fidèle à mon habitude, je m'étais abstenu de lire la moindre présentation - mais la surprise est de taille et fait aussitôt rêver, même si le rêve peut vite devenir cauchemar.
Mia, la mère de Obie, est prof de maths dans le collège de son fils aussitôt harcelé par les caïds des deux bandes rivales, les Kill Dogs (KD) et les Raging Bulls (RB). C'est tellement réaliste que j'ai frémi en pensant que cela se passe toujours de la même façon, en voyant ce que peut subir un adolescent de la part de ses camarades : harcèlement, menaces, chantage, violences. Évidemment, celui qui subit préfère ne pas en parler et cela ne peut que s'aggraver, sauf dans Obie Koul où… à vous de le découvrir.
Toutefois, je peux quand même dire que son père se nomme Elzeki, qu'il vient de loin et assez rapidement. J'ajoute que le réalisme du début vire rapidement dans l'imaginaire, le fantastique, la science-fiction et que cela est réussi.
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