Nous continuons notre chemin avec le lieutenant Viallate à la recherche des coupables, des meurtriers de ces femmes. Mais surtout nous continuons notre plongée dans l'enfer de la première guerre mondiale.
Finalement ce récit prend un visage bien différent. D'habitude la guerre, le front, les tranchées... Ca sert de contexte à une histoire, policière par exemple comme ça en prenait le chemin avec notre mère la guerre. Mais là c'est l'inverse qui se produit. L'enquête policière sert de contexte pour parler de la guerre. Pour exprimer l'horreur des tranchées. de ces hommes qui donnent leur vie pour leur patrie.
Ce tome s'attache finalement plus à nous lier à cette petite section du caporal Peyrac. A ces gamins, repris de justice pour des délits mineurs, que la France à envoyé devenir des meurtriers puis des morts.
L'histoire nous narre des secondes cruelles qui nous prend aux tripes. En parti grace aux aquarelles de
Mael qui savent si bien rendre l'atmosphère.
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