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Critique de tiph12
De tous les romans dans le même "genre" que j'ai lu récemment (Hunger Games, la sélection, uglies), c'est vraiment l'univers de celui-ci que j'ai trouvé le plus choquant.
Ce monde où on recherche la jeunesse éternelle, où un essaie de combattre à tout prix la vieillesse et la maladie m'a littéralement glacée. Forcément dans ce monde où quasiment plus personne ne meurt, les ressources naturelles s'épuisent très vite. Et il y a donc de grosses restrictions sur l'énergie, même si je regrette qu'elles soient expédiées un peu trop vite.
Mais le pire, c'est le sort réservé aux enfants : dans ce monde (an 2140), les adultes ne peuvent pas avoir d'enfants. Ceux qui ont enfreint la règle doivent vivre dans la clandestinité, et les enfants sont appelés les Surplus. Ils vivent dans des "orphelinats" horribles, où on leur bourre le crâne, on leur reproche de consommer trop d'énergie, et on les pousse faire un seul but, devenir utile.
C'est dans ce monde que vit Anna, l'héroïne du livre. Au début de l'histoire, elle ne questionne absolument pas son destin et sa condition, même si avoir son carnet intime est déjà un acte de rébellion. Vient ensuite Peter, qui refuse de baisser les yeux, et qui pousse Anna dans ses retranchements en lui parlant de ses parents, avant d'organiser leur évasion.
Ce roman se divise clairement en deux parties, celle qui se déroule à l'intérieur, et celle qui se passe à l'extérieur. J'ai beaucoup aimé la première partie, la description de ce monde et des règles qui le régissent. Malheureusement, certainement à cause de sa classification en jeunesse, la deuxième partie passe bien trop vite à mon goût. J'aurais aimé explorer plus en longueur les sentiments d'Anna , sa découverte de sensations nouvelles...Et j'ai trouvé la résolution également trop rapide, même si ce roman reste une belle découverte.
Ce monde où on recherche la jeunesse éternelle, où un essaie de combattre à tout prix la vieillesse et la maladie m'a littéralement glacée. Forcément dans ce monde où quasiment plus personne ne meurt, les ressources naturelles s'épuisent très vite. Et il y a donc de grosses restrictions sur l'énergie, même si je regrette qu'elles soient expédiées un peu trop vite.
Mais le pire, c'est le sort réservé aux enfants : dans ce monde (an 2140), les adultes ne peuvent pas avoir d'enfants. Ceux qui ont enfreint la règle doivent vivre dans la clandestinité, et les enfants sont appelés les Surplus. Ils vivent dans des "orphelinats" horribles, où on leur bourre le crâne, on leur reproche de consommer trop d'énergie, et on les pousse faire un seul but, devenir utile.
C'est dans ce monde que vit Anna, l'héroïne du livre. Au début de l'histoire, elle ne questionne absolument pas son destin et sa condition, même si avoir son carnet intime est déjà un acte de rébellion. Vient ensuite Peter, qui refuse de baisser les yeux, et qui pousse Anna dans ses retranchements en lui parlant de ses parents, avant d'organiser leur évasion.
Ce roman se divise clairement en deux parties, celle qui se déroule à l'intérieur, et celle qui se passe à l'extérieur. J'ai beaucoup aimé la première partie, la description de ce monde et des règles qui le régissent. Malheureusement, certainement à cause de sa classification en jeunesse, la deuxième partie passe bien trop vite à mon goût. J'aurais aimé explorer plus en longueur les sentiments d'Anna , sa découverte de sensations nouvelles...Et j'ai trouvé la résolution également trop rapide, même si ce roman reste une belle découverte.
