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Critique de Malahide75
Découvrir un matin que le corps qui vous abrite a décidé de vous lâcher n'est pas une expérience des plus agréables. Et tous ceux qui ont traversé cette épreuve restent marqués par des images indélébiles : blanc des carrelages, des néons, des blouses de médecins, silences gênés, cliquetis des seringues, gants qui claquent, hurlements des sirènes...
La traversée du désert de Mathias Malzieu, toute personnelle qu'elle est, ne manquera pas de trouver écho auprès des lecteurs qui, comme moi, ont fait cette douloureuse expérience.
Mais loin d'être misérabiliste et geignard, le témoignage du leader du groupe Dionysos est bourré d'espoir et éclatant de couleurs.
Avec le talent qu'on lui connaît, M. Malzieu fait de cette pénible aventure un merveilleux tremplin, pour lui-même et pour les lecteurs, vers un avenir et des lendemains optimistes.
Certes, le propos est parfois malhabile et le jeu sur les mots et les images quelquefois trop forcé, mais ce journal est un véritable baume de jouvence pour les cœurs et les corps meurtris.
La traversée du désert de Mathias Malzieu, toute personnelle qu'elle est, ne manquera pas de trouver écho auprès des lecteurs qui, comme moi, ont fait cette douloureuse expérience.
Mais loin d'être misérabiliste et geignard, le témoignage du leader du groupe Dionysos est bourré d'espoir et éclatant de couleurs.
Avec le talent qu'on lui connaît, M. Malzieu fait de cette pénible aventure un merveilleux tremplin, pour lui-même et pour les lecteurs, vers un avenir et des lendemains optimistes.
Certes, le propos est parfois malhabile et le jeu sur les mots et les images quelquefois trop forcé, mais ce journal est un véritable baume de jouvence pour les cœurs et les corps meurtris.
