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Critique de Dwalin
J'ai beaucoup aimé ce court roman de Mathias Malzieu (j'avais déjà bien aimé son vampire en pyjama).
Ce n'est ni dépressif, ni complètement barré, à la fois optimiste et pessimiste, plein de poésie et moderne avec les Surprisiers qui correspondent bien à une forme de spectacle vivant très actuelle tout en renvoyant au passé (ce qu'on voit bien dans le lien qui est fait avec la grand-mère du narrateur).
La sirène, élément fantastique, est parfaitement intégrée et mise en situation dans le monde réel, et même dans une situation précise de l'actualité récente (crue de la Seine). Les petites touches irrationnelles sont ajoutées délicatement, sans exagération (un travers qu'on trouve souvent dans les romans comportant ce type de situation absurde : en la poussant trop loin, l'auteur risque de tout casser. Ce n'est pas le cas ici).
C'est très réussi.
Ce n'est ni dépressif, ni complètement barré, à la fois optimiste et pessimiste, plein de poésie et moderne avec les Surprisiers qui correspondent bien à une forme de spectacle vivant très actuelle tout en renvoyant au passé (ce qu'on voit bien dans le lien qui est fait avec la grand-mère du narrateur).
La sirène, élément fantastique, est parfaitement intégrée et mise en situation dans le monde réel, et même dans une situation précise de l'actualité récente (crue de la Seine). Les petites touches irrationnelles sont ajoutées délicatement, sans exagération (un travers qu'on trouve souvent dans les romans comportant ce type de situation absurde : en la poussant trop loin, l'auteur risque de tout casser. Ce n'est pas le cas ici).
C'est très réussi.
