Les riches font ce qu’ils veulent, les pauvres font ce qu’ils peuvent.
Si l’on parle de décadence, c’est parce que tout le monde finit toujours à l’horizontale.
Si le monde va si mal, ce n’est pas parce que des gens cherchent à faire du mal mais au contraire parce qu’ils finissent toujours par se convaincre qu’ils font le bien.
Quand on a tant besoin de mettre en avant ses possessions, c’est parce qu’on juge qu’on ne vaut soi-même pas grand chose, et ce raisonnement trouvait sa preuve éclatante dans les salles de bains du deuxième étage: y installer des robinets en or, comme l’avait fait cet imbécile, pendant que 800 millions de gens n’ont pas accès à l’eau potable, témoignait peut-être de sa réussite dans beaucoup d’entreprises, mais certainement pas dans celle de devenir un être humain.
Ça ne les intéresse pas, de bûcher le bois… Ce qu’ils veulent, c’est l’esthétique. Ils trouvent ça plus pratique quand c’est tout fait. Chacun a ses valeurs, tout le monde n’aime pas forcément le vintage.
L’effet rustique, comme vous dites, c’est du faux qui a l’air vrai. Et une chose qui est faussement vraie, est vraiment fausse, vous comprenez ? Est-ce que vous offririez un bouquet de fleurs en plastique à votre fiancée ?
Avant d’être indépendantiste, apprenons à être autonome.
Les plus grands enseignements sont toujours les plus courts.
On y voyait la femme se métamorphoser dès que les lèvres d’un homme parcouraient ses épaules nues, son cou; elle se tordait de volupté quand sa bouche approchait de ses seins dont on ne voyait jamais les pointes; et, quand il descendait plus bas, elle levait les yeux plus haut en criant des mots suédois, comme les dénominations des armoires Ikea, qui signifiaient «je t’aime», selon le sous-titrage.
La plupart des gens qui courent après des responsabilités ne sont jamais responsables de rien quand enfin elles arrivent…