Koïchi s'élança instinctivement pour rattraper les feuilles : d'une main, il se saisit du chapeau et, de l'autre bien ouverte, il tenta de récupérer autant de feuilles que possible. Une petite pluie de grains de riz rattrapa les feuilles dans leur course. Koïchi les vit disparaître et resta pétrifié : en un instant il avait perdu les trente-six grains de riz et avec eux tout espoir de bonheur.