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Critique de ohfom
Non encore traduit, ce livre magnifique nous dévoile quelques aspects du Pasolini intime au prisme d'une approche toute de sensibilité et de sympathie.
L'auteure a partagé nombre de ses confidences, de ses révoltes, de ses voyages. L'image essentielle de la Mère est plusieurs fois évoquée, de même que les préférences sexuelles du cinéaste, ceci expliquant peut-être en partie cela. Les engagements politiques sont plusieurs fois rappelés, débouchant sur l'interrogation fondamentale quant à l'obscurité entourant les circonstances de l'assassinat et la question de savoir qui d'autre que le coupable désigné pouvait y avoir intérêt.
Les nombreux voyages au plus profond de l'Afrique, partagés avec d'autres amis parfois, comme Maria Callas, sont également une découverte témoignant de la sensibilité de P.P.P. aux faibles et aux déshérités.
Enfin, stylistiquement l'approche par songes répétés lui rappelant le passé commun est une belle trouvaille de l'auteure qui rythme l'ensemble de ses "mémoires" et leur donne une saisissante profondeur.
L'auteure a partagé nombre de ses confidences, de ses révoltes, de ses voyages. L'image essentielle de la Mère est plusieurs fois évoquée, de même que les préférences sexuelles du cinéaste, ceci expliquant peut-être en partie cela. Les engagements politiques sont plusieurs fois rappelés, débouchant sur l'interrogation fondamentale quant à l'obscurité entourant les circonstances de l'assassinat et la question de savoir qui d'autre que le coupable désigné pouvait y avoir intérêt.
Les nombreux voyages au plus profond de l'Afrique, partagés avec d'autres amis parfois, comme Maria Callas, sont également une découverte témoignant de la sensibilité de P.P.P. aux faibles et aux déshérités.
Enfin, stylistiquement l'approche par songes répétés lui rappelant le passé commun est une belle trouvaille de l'auteure qui rythme l'ensemble de ses "mémoires" et leur donne une saisissante profondeur.
