Lu après "
Comme les amours" et "
Si rude soit le début". L'écriture est toujours aussi belle - et un peu exigeante, certaines phrases longues et alambiquées ; le sujet du texte pouvant passer du coq à l'âne avant de revenir au fil après une très longue digression. J'ai moins accroché qu'aux deux précédents, certains passages m'étant été un peu obscurs. Une belle réflexion mélancolique sur le secret et l'éphémère, toutefois.
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