Recevoir une balle sur le front, ou même dans la rue, dans le feu de l'action, passe encore ! mais tomber, par surprise, sous les coups de sabre d'une multitude inconsciente!...La chair se révolte et s'effare. C'est après de telles émotions que l'on perce jusqu'au fond l'odieux des vengeances anonymes, l'injustice des arrêts immédiats et sommaires, des répressions spontanées dont rien ne modère l'arbitraire et ne tempère la rigueur !