>
Critique de samanthalemmouplusencore
Je vais faire au plus court, ne pas m'attarder dans trop de détails car ce livre doit être lu, et découvert de A à Z.
En apprendre quelques bribes avant serait terrible car ce qui fait la force et la beauté de cette histoire c'est sa construction si singulière.
On commence les premiers chapitres, et on ne comprend pas. C'est terrible, on se demande pour quoi ? Dans quel but ?
Et puis au fur et à mesure des détails s'imbriquent, des phrases, des éléments donnés par l'auteure et petit à petit on réalise. On réalise pas d'un coup, non, c'est peu à peu, en douceur jusqu'à la fin. Et on obtient les réponses tant désirées.
Océan ce jeune garçon qui ne supporte plus sa vie, sa transparence au sein de sa famille, quand il voudrait tellement l'être au lycée. Tout, plutôt que d'être cette victime perpétuelle, harcelé chaque jours un peu plus, jusqu'à le vider complètement. Cette journée est sa dernière, c'est décidé et il ne reviendra pas en arrière, ce vendredi 8 septembre à 17h39 marquera sa fin.
Puis l'histoire reprend, et tout comme on remonterait une montre, Océan va revivre ce même jour mais dans le corps d'un de ses anciens meilleurs amis, Félix devenu l'un de ses bourreaux actuel.
Il va découvrir bien des choses dans cette nouvelle enveloppe corporelle.
Tout d'abord que les gens changent, tandis que d'autres pas, et que parfois tout n'est pas ce qu'il semble être.
Si ?
Un livre que je n'oublierai jamais.
Je l'ai refermé avec un tel sentiment de paix. Un pur bonheur.
J'avais passé la quasi totalité de la lecture en apnée, il faut dire que les émotions dépeintes y sont intenses, et d'une justesse époustouflante.
Tout y est.
La psychologie des personnages, on les découvre, puis on finit par s'attacher à certains, à comprendre, on ne justifie pas, non c'est impossible, mais on réfléchit et on entrevoit "l'autre côté", celui du méchant, celui qui ferme les yeux parce qu'après tout ce n'est rien... un pousson, une insulte crachée, une victime toute trouvée... et puis pour finalement réaliser, réagir. Prise de conscience !
Océan est ce jeune parmi tant d'autres, il est le reflet de quelqu'un qu'on connait, ou pourrait connaître.
Juliette a su m'embarquer grâce à la sensibilité dans sa plume. Les sentiments sont transposées avec une poésie qui sublime absolument tout.
La détresse intérieure, les réflexions et questionnements, tout est d'une telle puissance, un impact bouleversant mais les termes aquatiques choisis permettent de rendre plus abstrait, se détacher légèrement pour adoucir la dureté du sentiment.
L'océan et Océan.
On pourrait penser qu'il s'agit de mort, de détresse émotionnelle, et d'abandon. le fond est là évidemment, mais c'est avant tout un sublime message d'espoir, et de renouveau.
Une victoire.
C'est profond, intense mais c'est avant tout le combat gagné pour la vie.
J'ai beaucoup pleuré en lisant ce livre.
Pas des gouttes versées par tristesse, non, mais par beauté. Celles qui coulent parce qu'on est touché.
Puis sont arrivées celles qui submergent d'une joie immense. Cette intense satisfaction de voir s'accomplir tout ce que mon coeur espérait. Océan heureux, à sa place, comblé et enfin satisfait.
Ce roman a été un condensé d'émotions brutes, mais pour rien au monde je n'échangerais ma lecture pour une plus légère.
En apprendre quelques bribes avant serait terrible car ce qui fait la force et la beauté de cette histoire c'est sa construction si singulière.
On commence les premiers chapitres, et on ne comprend pas. C'est terrible, on se demande pour quoi ? Dans quel but ?
Et puis au fur et à mesure des détails s'imbriquent, des phrases, des éléments donnés par l'auteure et petit à petit on réalise. On réalise pas d'un coup, non, c'est peu à peu, en douceur jusqu'à la fin. Et on obtient les réponses tant désirées.
Océan ce jeune garçon qui ne supporte plus sa vie, sa transparence au sein de sa famille, quand il voudrait tellement l'être au lycée. Tout, plutôt que d'être cette victime perpétuelle, harcelé chaque jours un peu plus, jusqu'à le vider complètement. Cette journée est sa dernière, c'est décidé et il ne reviendra pas en arrière, ce vendredi 8 septembre à 17h39 marquera sa fin.
Puis l'histoire reprend, et tout comme on remonterait une montre, Océan va revivre ce même jour mais dans le corps d'un de ses anciens meilleurs amis, Félix devenu l'un de ses bourreaux actuel.
Il va découvrir bien des choses dans cette nouvelle enveloppe corporelle.
Tout d'abord que les gens changent, tandis que d'autres pas, et que parfois tout n'est pas ce qu'il semble être.
Si ?
Un livre que je n'oublierai jamais.
Je l'ai refermé avec un tel sentiment de paix. Un pur bonheur.
J'avais passé la quasi totalité de la lecture en apnée, il faut dire que les émotions dépeintes y sont intenses, et d'une justesse époustouflante.
Tout y est.
La psychologie des personnages, on les découvre, puis on finit par s'attacher à certains, à comprendre, on ne justifie pas, non c'est impossible, mais on réfléchit et on entrevoit "l'autre côté", celui du méchant, celui qui ferme les yeux parce qu'après tout ce n'est rien... un pousson, une insulte crachée, une victime toute trouvée... et puis pour finalement réaliser, réagir. Prise de conscience !
Océan est ce jeune parmi tant d'autres, il est le reflet de quelqu'un qu'on connait, ou pourrait connaître.
Juliette a su m'embarquer grâce à la sensibilité dans sa plume. Les sentiments sont transposées avec une poésie qui sublime absolument tout.
La détresse intérieure, les réflexions et questionnements, tout est d'une telle puissance, un impact bouleversant mais les termes aquatiques choisis permettent de rendre plus abstrait, se détacher légèrement pour adoucir la dureté du sentiment.
L'océan et Océan.
On pourrait penser qu'il s'agit de mort, de détresse émotionnelle, et d'abandon. le fond est là évidemment, mais c'est avant tout un sublime message d'espoir, et de renouveau.
Une victoire.
C'est profond, intense mais c'est avant tout le combat gagné pour la vie.
J'ai beaucoup pleuré en lisant ce livre.
Pas des gouttes versées par tristesse, non, mais par beauté. Celles qui coulent parce qu'on est touché.
Puis sont arrivées celles qui submergent d'une joie immense. Cette intense satisfaction de voir s'accomplir tout ce que mon coeur espérait. Océan heureux, à sa place, comblé et enfin satisfait.
Ce roman a été un condensé d'émotions brutes, mais pour rien au monde je n'échangerais ma lecture pour une plus légère.
