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Critique de umezzu


Ce prince du Nil (enfin du Haut-Nil), c'est Enak. Jacques Martin nous avait pourtant expliqué dans le tome 2 (Le sphinx d'or) qu'il était orphelin. Alix aurait donc du se douter que la prétendue filiation royale d'Enak cachait un stratagème pour l'attirer au royaume de Sakhara et le contraindre à trahir Rome.
Mais sur place plusieurs personnes vont mettre à mal le plan ourdi par le général Djéfer, à commencer par la soeur du souverain, Saïs, qui s'est éprise d'Alix, et son frère, Qaâ, un ermite roux, accompagné de vautours et d'un guépard apprivoisés, prônant la révolte des esclaves.
Puissants se battant pour le pouvoir contre esclaves maltraités; ce tome s'intéresse un peu au petit peuple, ce qui n'est pas trop courant dans cette série.
Côté dessin, Jacques Martin est au summum, avec la création d'une ville, Sakhara, somptueuse (page 9 de l'album). Alix en reste bouche bée et le lecteur aussi.
L'histoire est tortueuse, mais pour une fois Jacques Martin va rester assez réaliste dans sa construction et sa résolution.
Un bon album, un peu gâché, sur mon édition (celle de 1974) par une couverture assez laide : Alix ligoté sur une croix attaqué de nuit par des hyènes.
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