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Critique de umezzu


Pendant la guerre civile entre César et Pompée, Alix escorte Octave, le neveu de Jules César, prés de Tarquini, où il doit rejoindre sa soeur. La région est sous l'emprise d'un groupe d'hommes cagoulés et en aubes rouges, d'une rare violence, adorant Baal Moloch. Leur culte les conduit à enlever les enfants de leurs ennemis pour les immoler à leur divinité.
Alix va devoir contrecarrer les plans de leur chef, Brutus Tarquini, qui, en descendant des Étrusques, veut profiter de la confusion ambiante pour recréer à son profit le royaume des Étrusques.

Ce tome d'Alix est assez sombre : la civilisation romaine tremble sur ses bases, le préfet local est un bon à rien adipeux, la violence des adeptes du dieu Baal-Moloch est effrayante, et le sort des enfants enlevés fait froid dans le dos. Jacques Martin utilise l'une des pages de l'album pour éclairer le lecteur sur l'origine de ce dieu, sa présence dans le monde phénicien et à Carthage. Pour le reste l'intrigue est du grand classique dans cette série : un des « héros » se fait enlever, Alix va la sauver, ils sont quasiment repris et on recommence jusqu'au dénouement final dans le « tombeau étrusque » du titre.
Relu en ces temps de confinement, cet album n'apporte pas franchement la détente attendue.
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