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Critique de Gregor
Après "La Boîte" (petit format de haute tenue), Pauline Martin publie en 2001 ce récit
(beaucoup plus long) ; elle y pose à nouveau sa propre voix et son regard féminin audacieux ; elle nous embarque dans une exploration des relations sentimentales que nouent les jeunes adultes occidentaux. Nous assistons à un deuil amoureux. le dessin faussement naïf recouvre toute cette noirceur mais Pauline Martin ne donne pas que des raisons de désespérer. Derrière les bribes de douleurs, elle livre aussi de l'espoir, et ce pudiquement.
(beaucoup plus long) ; elle y pose à nouveau sa propre voix et son regard féminin audacieux ; elle nous embarque dans une exploration des relations sentimentales que nouent les jeunes adultes occidentaux. Nous assistons à un deuil amoureux. le dessin faussement naïf recouvre toute cette noirceur mais Pauline Martin ne donne pas que des raisons de désespérer. Derrière les bribes de douleurs, elle livre aussi de l'espoir, et ce pudiquement.
