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Critique de Meps
Je reprends ma lecture de la version littéraire alors que je viens il y a assez peu de temps de terminer l'adaptation en série télévisée. Maintenant que je connais tous les dénouements, en tout cas ce que les scénaristes ont décidé, ma lecture de la version roman devient forcément différente.
J'ai appris qu'il y avait certaines différences entre les deux versions mais je ne peux que supposer que le fil général de l'intrigue reste semblable (même si certaines différences m'ont fait un temps penser dans ce tome précisément que les histoires allaient réellement prendre une voie différente).
Je prends plaisir en tout cas à observer comment sont introduits les personnages dont je connais l'importance future dans la série. Et sans trop spoiler, ce tome permet de découvrir la Maison Bolton et sa bannière à l'écorché vif et voit Jon rencontrer ses premiers sauvageons.
La différence de traitement de la bataille de la Néra est logique: fortement télégénique et donc centrale dans la série, elle est plus compliquée à rendre par les mots et semble presque bâclée dans un tome dont le titre l'évoque pourtant indirectement.
Il faut plutôt apprécier que la différence des modes d'expression permettent de profiter d'une richesse double: celle des images pour la bataille d'un côté; de l'autre celle des détails, notamment dans la psychologie des personnages, que le format en adaptation série ne permet pas de pleinement retranscrire.
Bref, le plaisir de lecture, certes différent, n'est pas totalement entamé par la connaissance des dénouements successifs. Et l'annonce par Martin d'une fin différente à la version littéraire est une belle réussite de communication qui devrait assurer le succès - pourtant déjà garanti - à la publication des tomes qui se font tant attendre !
J'ai appris qu'il y avait certaines différences entre les deux versions mais je ne peux que supposer que le fil général de l'intrigue reste semblable (même si certaines différences m'ont fait un temps penser dans ce tome précisément que les histoires allaient réellement prendre une voie différente).
Je prends plaisir en tout cas à observer comment sont introduits les personnages dont je connais l'importance future dans la série. Et sans trop spoiler, ce tome permet de découvrir la Maison Bolton et sa bannière à l'écorché vif et voit Jon rencontrer ses premiers sauvageons.
La différence de traitement de la bataille de la Néra est logique: fortement télégénique et donc centrale dans la série, elle est plus compliquée à rendre par les mots et semble presque bâclée dans un tome dont le titre l'évoque pourtant indirectement.
Il faut plutôt apprécier que la différence des modes d'expression permettent de profiter d'une richesse double: celle des images pour la bataille d'un côté; de l'autre celle des détails, notamment dans la psychologie des personnages, que le format en adaptation série ne permet pas de pleinement retranscrire.
Bref, le plaisir de lecture, certes différent, n'est pas totalement entamé par la connaissance des dénouements successifs. Et l'annonce par Martin d'une fin différente à la version littéraire est une belle réussite de communication qui devrait assurer le succès - pourtant déjà garanti - à la publication des tomes qui se font tant attendre !
