Le temps était suspendu, stérile. Boris se retrouvait à nouveau face à la mort. Silencieuse, elle lui rappelait son insolente injustice et sa toute puissance. Elle frappait quand et qui elle souhaitait, sans crier gare, perfide, cruelle. La mort imposait son châtiment sans motif, ni raison, juste pour rappeler aux hommes qu'ils ne sont maîtres de rien.