Comme le deuxième tome, celui-ci ne m'a qu'à moitié convaincu. Il clôture le cycle.
Il manque d'une histoire un peu plus prenante comme fil conducteur. Dès le départ nous avons la répétition de l'errance au hasard alors qu'il cherche sa famille. Il tue facilement tout ce qu'il croise. Et finit par trouver tout aussi facilement ce qu'il cherche. Même si c'est pour traiter du deuil et de la reconstruction, ce discours plus philosophique et psychologique est un peu ennuyant parce que vraiment pas révolutionnaire.
Néanmoins les personnages sont attachants et sympathiques. Les dessins efficaces.
Commenter  J’apprécie         90