Le bruit de la Kalachnikov est particulièrement impressionnant, et j'imagine qu'en face, en situation réelle, les adversaires visés auront le réflexe naturel de baisser la tête voire de s'allonger au sol dès la première détonation.
De mon côté, la leçon était apprise. Agir de manière professionnelle, ce n’est pas forcément transmettre une information grave : c’est parfois avoir le courage de la retenir. (…) Pour le reste, il n’y a pas de secret : seule l’expérience me rendra capable de faire le tri entre le renseignement fabriqué par une source qui cherche à se faire mousser, et celui qui désigne une véritable menace. »