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Critique de MassLunar
Je n'ai pas été convaincu par le dernier titre de la maison Vega, label manga créé par les éditions Steinkins. Vega s'est pourtant fait remarquer avec quelques seinens imparfait mais très correct. Je ne les ai pas encore tous lu dans le détail mais j'avais bien aimé le Bateau de Thésée et il y a eu de bons retours sur des titres comme Peleliu ou Survivant.
Là, pour le coup, Bandit 7 est déjà un manga plus conventionnel au niveau de la forme loin du pelliculage mat des autres titres. Souple, jaquette lisse, je trouve déjà qu'il manque de caractère au niveau formel par rapport aux autres titres Vega.
Quant au contenu, pour moi, on est dans du confus. Un découpage de cases qui semble bouffer l'action plutôt que de la sublimer ou tout simplement la maitriser, des bulles qui semblent parfois se dissocier des personnages, je ne parle pas du résumé de quatrième de couv' qui nous fait quand même l'honneur d'oublier une majuscule. Je chipote mais c'est aussi en regardant les détails qu'on peut apprécier la qualité d'un titre.
Même si ce n'est pas un ratage total, j'ai l'impression d'avoir lu un titre un peu mal foutu. Ajoutez à cela un dessin correct mais apathique avec des décors vides. Après tout, on est dans du post-apo style route 66 façon mad max ( avec moins de panache) donc forcément on va privilégier du néant, du chaos... soit mais bon nous avons quand même l'impression de regarder ce manga par le petit oeil de la caméra.
Ce qui sauve ce titre, c'est cette ambiance de coolitude qui finit par se dégager. Nous avons un duo de personnages assez sympathique entre le froid réservé et le chaleureux imbécile et une ambiance anti-manichéenne, voire nihiliste où une balle peut fuser aussi vite qu'une parole stupide.
Au niveau du ton, c'est vraiment pas mal, nous avons l'impression de découvrir un post-apo cool et roublard qui aurait pu être génial si il n'y avait pas eu cette inertie technique.
En somme, je ne pense pas poursuivre Bandit 7. C'est un titre un peu faiblard que nous propose Vega donc affaire non à suivre pour ma part mais si vous êtes friand d'ambiance post-apo, n'hésitez pas à lire ce titre par curiosité. Sait-on jamais ? La série ne fait que commencer.
Là, pour le coup, Bandit 7 est déjà un manga plus conventionnel au niveau de la forme loin du pelliculage mat des autres titres. Souple, jaquette lisse, je trouve déjà qu'il manque de caractère au niveau formel par rapport aux autres titres Vega.
Quant au contenu, pour moi, on est dans du confus. Un découpage de cases qui semble bouffer l'action plutôt que de la sublimer ou tout simplement la maitriser, des bulles qui semblent parfois se dissocier des personnages, je ne parle pas du résumé de quatrième de couv' qui nous fait quand même l'honneur d'oublier une majuscule. Je chipote mais c'est aussi en regardant les détails qu'on peut apprécier la qualité d'un titre.
Même si ce n'est pas un ratage total, j'ai l'impression d'avoir lu un titre un peu mal foutu. Ajoutez à cela un dessin correct mais apathique avec des décors vides. Après tout, on est dans du post-apo style route 66 façon mad max ( avec moins de panache) donc forcément on va privilégier du néant, du chaos... soit mais bon nous avons quand même l'impression de regarder ce manga par le petit oeil de la caméra.
Ce qui sauve ce titre, c'est cette ambiance de coolitude qui finit par se dégager. Nous avons un duo de personnages assez sympathique entre le froid réservé et le chaleureux imbécile et une ambiance anti-manichéenne, voire nihiliste où une balle peut fuser aussi vite qu'une parole stupide.
Au niveau du ton, c'est vraiment pas mal, nous avons l'impression de découvrir un post-apo cool et roublard qui aurait pu être génial si il n'y avait pas eu cette inertie technique.
En somme, je ne pense pas poursuivre Bandit 7. C'est un titre un peu faiblard que nous propose Vega donc affaire non à suivre pour ma part mais si vous êtes friand d'ambiance post-apo, n'hésitez pas à lire ce titre par curiosité. Sait-on jamais ? La série ne fait que commencer.
