La petite fille qui aimait la lumière

C'est sur les conseils d'un collègue de travail qui m'a dit que c'était un des plus beaux livres qu'il avait lu, que je me suis procurée "La petite fille qui aimait la lumière".
Je ne le regrette pas.

Cette histoire est attachante; elle fait remonter à la surface tout un panel d'émotions. C'est très bien fait car ça ne tombe jamais dans le "pathétique".

Un vieillard découvre une fillette rouée de coups et qui ne parle pas.
C'est un temps de guerre où "Les autres" ont massacrés et cherchent à finir le "boulot".

Le vieillard sauve la fillette et il en nait une jolie relation; la parole revient dans le foyer. La parole de Monsieur Papi (comme la fillette l'a nommé en son intérieur) et l'écoute sans mot (mais pas sans communication) de Lumiere comme il l'a appelée. Car c'est le seul mot qu'elle prononce tant elle a peur du noir.

C'est subtil, bien écrit, émouvant, mais aussi plus. Je me suis sentie plus humaine, plus libre, plus heureuse d'être apres cette lecture.

Je vous la conseille vivement. Ça se lit vraiment bien et ça se déguste comme un met fin.