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Critique de Emylit23


Merci à Babelio et aux Editions M.E.O. (Mode Est-ouest, maison d'édition belge) pour l'envoi de ce roman.
Ernest Dubois, prof de français rentre d'un voyage à Atlanta. Arrivé à son appartement, il constate qu'un oiseau a pris possession des lieux. Ornithophobe, Ernest doit trouver quelqu'un pour chasser cet oiseau mais il ne faut pas non plus qu'il perde la face. Donc, il ne demandera pas à sa concierge de chasser l'intrus. Il fuit et prend le métro qui tombe en panne et là, il rencontre Kommer Baert, un Flamand, en train de se faire engueuler par Madame Pipi (Fintje ou Madame Séraphine) qui le prend pour un pervers qui reste des heures aux toilettes pour dames. C'est dans ce cadre que les deux hommes se rencontrent. Ernest veut connaître les raisons qui ont mis Fintje dans un tel état. Kommer, épigraphiste amateur, relève tous les graffitis couvrant les murs des toilettes hommes et femmes d'où le quiproquo.
Cette scène n'est que le début d'un enchaînement de situations assez loufoques, avec des personnages tout aussi cocasses et très (trop) stéréotypés voire clichés.
Plusieurs sujets inhérents à la Belgique et plus spécifiquement à Bruxelles sont exprimés ainsi les problèmes linguistiques, l'indépendance de la Flandre, la minorité de Flamands à Bruxelles dont ceux-ci veulent en faire leur capitale, le multiculturalisme , la promenade du Gordel...
J'ai à coeur de défendre la littérature belge éditée en Belgique mais je n'ai pas eu le coup de coeur que j'espérais à travers cette lecture. J'ai trouvé cette histoire belge surréaliste... certes mais, je ne me suis pas sentie impliquée dans cette histoire où les clichés m'ont agacée même s'ils étaient utilisés pour les dénoncer.
Sans doute, n'ai-je pas compris les intentions de l'auteur mais ce livre, même s'il traite de la Belgique, ne m'a plu qu'à moitié et j'en suis désolée....
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