Une preuve de plus que les bonnes intentions et la défense des grandes causes ne font pas forcément les grands livres. Alors que je suis particulièrement sensibilisé à la cause du football joué par les femmes (je n'ose pas écrire "football féminin") avec ma mon épouse, ma fille et ma soeur qui ont toutes pratiqué ce sport avec tout ce que cela sous-entend en matière d'émancipation, je n'ai guère été transporté par cette histoire. Quant à ce concept de " vers libres" mis en exergue en quatrième de couverture, comment peut-on qualifier de vers la prose la plus banale simplement découpée en segments et ceci au petit bonheur la chance ?
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