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Critique de nathalieberquet
Bonjour les amis,
Je viens vous parler de L'OGRE tome IV de Louis de Mauboy, un livre qui vous retourne le cerveau.
Si à chaque fois vous pensez que tout va s'arranger et vous vous mettez le doigt dans l'oeil.
L'auteur est cruel avec ses lecteurs, c'est avec une plume acéré qu'il nous transporte encore fois dans les méandres de l'inimaginable.
L'histoire reste toujours aussi gore et le pire c'est que l'on y croit, vous vous faites bousculer au bord des abysses.
La plume agréable de l'auteur est toujours aussi facile à lire, je vous assure que ce roman ainsi que les autres tomes ne sont pas à laisser dans n'importe quelle main, c'est pour des lecteurs avertis. Il faut avoir le coeur bien accroché pour aller jusqu'à la dernière page.
Quand vous arrivez dans les dernières pages vous vous demandez si Kader, France et le petit Quentin vont enfin voir le bout du tunnel et bien je vous dirai qu'il faudra attendre le tome V pour le savoir.
C'est un roman qui déchire et l'auteur n'a pas la langue de bois pour décrire tous les sévices qu'il en dure.
Mais je peux vous assurer également que l'auteur est machiavélique.
C'est pour moi un coup de coeur, j'ai eu beaucoup de plaisir lire ce livre.
Je remercie beaucoup l'auteur pour ce service presse et de la confiance qu'il me porte.
QUATRIÈME DE COUVERTURE ;
L'avant-dernier volet d'une série qui renouvelle le thriller
Cette fois, la situation semble désespérée. le petit Quentin se retrouve à la merci de ses nouveaux tuteurs qui révèlent toute l'étendue de leur cruauté.
France doit faire face aux conséquences de son internement, mais également de ses erreurs passées.
Corentin continue de se débattre dans la toile du Cercle, tandis que Kader, toujours déterminé à faire cesser cet infâme trafic, poursuit son enquête. Sa rencontre avec une victime du réseau mettra au jour l'impensable...
Le quatrième volet est l'avant-dernier de cette série. Une nouvelle fois, l'auteur nous entraîne dans les méandres de l'âme humaine, là où se cachent des ténèbres que nul ne saurait regarder en face sans sentir son sang se glacer...
Je viens vous parler de L'OGRE tome IV de Louis de Mauboy, un livre qui vous retourne le cerveau.
Si à chaque fois vous pensez que tout va s'arranger et vous vous mettez le doigt dans l'oeil.
L'auteur est cruel avec ses lecteurs, c'est avec une plume acéré qu'il nous transporte encore fois dans les méandres de l'inimaginable.
L'histoire reste toujours aussi gore et le pire c'est que l'on y croit, vous vous faites bousculer au bord des abysses.
La plume agréable de l'auteur est toujours aussi facile à lire, je vous assure que ce roman ainsi que les autres tomes ne sont pas à laisser dans n'importe quelle main, c'est pour des lecteurs avertis. Il faut avoir le coeur bien accroché pour aller jusqu'à la dernière page.
Quand vous arrivez dans les dernières pages vous vous demandez si Kader, France et le petit Quentin vont enfin voir le bout du tunnel et bien je vous dirai qu'il faudra attendre le tome V pour le savoir.
C'est un roman qui déchire et l'auteur n'a pas la langue de bois pour décrire tous les sévices qu'il en dure.
Mais je peux vous assurer également que l'auteur est machiavélique.
C'est pour moi un coup de coeur, j'ai eu beaucoup de plaisir lire ce livre.
Je remercie beaucoup l'auteur pour ce service presse et de la confiance qu'il me porte.
QUATRIÈME DE COUVERTURE ;
L'avant-dernier volet d'une série qui renouvelle le thriller
Cette fois, la situation semble désespérée. le petit Quentin se retrouve à la merci de ses nouveaux tuteurs qui révèlent toute l'étendue de leur cruauté.
France doit faire face aux conséquences de son internement, mais également de ses erreurs passées.
Corentin continue de se débattre dans la toile du Cercle, tandis que Kader, toujours déterminé à faire cesser cet infâme trafic, poursuit son enquête. Sa rencontre avec une victime du réseau mettra au jour l'impensable...
Le quatrième volet est l'avant-dernier de cette série. Une nouvelle fois, l'auteur nous entraîne dans les méandres de l'âme humaine, là où se cachent des ténèbres que nul ne saurait regarder en face sans sentir son sang se glacer...
