Vingt et une nouvelles d'une très belle écriture qui parfois fait oublier l'histoire, le contenant prenant le dessus sur le contenu. Contenu fortement teinté du cynisme le plus noir, comme souvent chez
Maupassant, mais loin de l'atmosphère sordide et malsaine que l'on peut trouver dans la littérature contemporaine qui donne quelquefois l'impression que s'en est le but premier. Ici ce sont des horreurs lumineuses. L'aveu, L'ivrogne ou le gueux sont remarquables sans oublier l'incroyable Tombouctou totalement impubliable de nos jours !
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