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Critique de Melancoly
Mon bel amiMaupassant, qui ne m'a jamais déçue jusqu'à présent, nous propose en premier, dans ce recueil de huit nouvelles, la maison Tellier, maison close, exceptionnellement fermée pour cause de première communion. Ses habitués, guère en odeur de sainteté, s'en trouvent fort marris et tout con(trits) de ne pouvoir fornicoter à l'envi. Madame et son quintuor de demoiselles de coquine compagnie, ont pris congé et les laissent en plan avec leurs envies.
Dans le train qui les conduit au lieu de la cérémonie monte un commis-voyageur, vendeur de jarretières, qui propose à chacune de celles qui veulent bien en faire l'essai, la gratuité de ce colifichet tant convoité et, du même coup, lui permet de bénéficier d'une partie de jambes à l'air fort appréciée.
La tendresse et la hard-yes De Maupassant pour les femmes de petite vertu sont bien connues et son assiduité ne lui a guère réussi puisque la syphilis s'est mis de la partie et, à 43 ans, eut raison de lui.
Puisse cet avant-goût mettre l'O à la bouche et susciter curiosité envers cet auteur et son art de mettre le doigt là....où ça dérange, toujours avec élégance.
Dans le train qui les conduit au lieu de la cérémonie monte un commis-voyageur, vendeur de jarretières, qui propose à chacune de celles qui veulent bien en faire l'essai, la gratuité de ce colifichet tant convoité et, du même coup, lui permet de bénéficier d'une partie de jambes à l'air fort appréciée.
La tendresse et la hard-yes De Maupassant pour les femmes de petite vertu sont bien connues et son assiduité ne lui a guère réussi puisque la syphilis s'est mis de la partie et, à 43 ans, eut raison de lui.
Puisse cet avant-goût mettre l'O à la bouche et susciter curiosité envers cet auteur et son art de mettre le doigt là....où ça dérange, toujours avec élégance.
