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Critique de CindyR


« Elle a soif de vengeance et ne reculera devant rien pour y arriver. Lui est prêt à tout pour récupérer ce qu'on lui a arraché. »

Cette histoire commence avec un prologue qui m'a ému profondément et qui annonce surtout direct la couleur.

Lyrine a perdu sa mère et elle a grandi en haïssant celui qui lui a tout pris Cassiel qui est le premier conseillé du dieu Hillios qui dirige Asheran (paradis), et elle se fait la promesse qu'elle fera tout pour se venger.

Elle devient nettoyeuse et leur mission est d'éviter que l'existence des créatures surnaturelles ne soit jamais dévoilée aux humains, on la surnomme la dépeceuse d'ailes (et je ne voudrais pas me retrouver en face d'elle), elle essaye toujours de ne pas déroger au code de l'organisation sauf pour des cas exceptionnels. Elle est aussi la Rehna et elle est liée à Arakan celui qui dirige Rehwer (enfer) mais elle est bien plus ça, elle est aussi de la caste des Élites qui sont bannies d'Asheran, elle serait la dernière survivante.

Un ange Azaziel sous le visage de James, un humain va être envoyé sous couverture pour intégrer son cercle et tout faire pour gagner sa confiance, il arrive avec un objectif, mais à force de la côtoyer, il va apprendre des choses qu'ils vont le faire douter et le questionner sur sa mission, et si on lui avait menti ? Et si elle n'était pas l'ennemie ?!

L'univers est super bien construit, les personnages et l'intrigue sont très complexes et très intéressants, on veut toujours en savoir plus et beaucoup de chose reste encore très flou, ce qui rend tout ça très mystérieux, donc la lecture en devient addictif. Une plume qui ne me déçoit jamais et je vous la conseille vivement.

Entre enquête, espionnage, complots, trahisons et vengeance, une quête de vérité qui va remuer des secrets enfouie depuis longtemps et qui pourrait tout changer. Un urban fantasy ennemies to lovers slow burn très intense que ce soit en émotions, en révélations, en questionnement et en retournements de situation.

« À trop jouer avec le feu, on se brûle les ailes. »
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