La rénovation de la maison terminée, les ouvriers enfin partis, toute la place est libre dans ce second volume pour le reste de la population provençale et ses habitudes, si manifestement exotiques aux yeux de cet Anglais conquis, à commencer par sa passion immodérée mais contagieuse pour la bonne bouffe. L'humour britannique suinte toujours sous la traduction mais la lecture en version originale a une saveur supplémentaire. Ou était-ce le parfum de la nouveauté du premier tome ? Manifestement, je ne suis pas la seule à l'avoir préféré.
Commenter  J’apprécie         40