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Critique de BurjBabil
De temps en temps, plutôt de mauvais temps en mauvais temps en ce moment, je m'arrête sur ce genre de série dont je crois avoir lu une bonne partie des numéros à droite ou à gauche ou sous un parapluie en dur, c'est à dire une librairie sympa qui me laisse parcourir en dix minutes chrono une grosse daube et acheter un truc qui mérite plus de figurer dans une bibliothèque.
Donc, on retrouve tous les dignitaires nazis, les grandes figures de la Luftwaffe et des avions imaginaires improbables.
Il y a aussi des armes presque magiques, des allusions à la mythologie Nordique et des extraterrestres, une ambiance de fin du monde classique dans ces univers dystopiques. C'est finalement à peine distrayant, "pepe boyington" si tu voyais ...
Comme dans toutes les séries véhicules du soft power étasunien et affilié, un seul pilote U.S, le célébrissime major Gunn (Eh oui, ça ne s'invente pas) réussira à dézinguer deux "Gruppen" de "Jagdgeschwader" au dessus de l'Allemagne en récolant deux tirs superficiels et en réussissant à poser son zinc sans train d'atterrissage complet et sans dégât majeur...
Oh, mince, je viens de divulgâcher !
Donc, on retrouve tous les dignitaires nazis, les grandes figures de la Luftwaffe et des avions imaginaires improbables.
Il y a aussi des armes presque magiques, des allusions à la mythologie Nordique et des extraterrestres, une ambiance de fin du monde classique dans ces univers dystopiques. C'est finalement à peine distrayant, "pepe boyington" si tu voyais ...
Comme dans toutes les séries véhicules du soft power étasunien et affilié, un seul pilote U.S, le célébrissime major Gunn (Eh oui, ça ne s'invente pas) réussira à dézinguer deux "Gruppen" de "Jagdgeschwader" au dessus de l'Allemagne en récolant deux tirs superficiels et en réussissant à poser son zinc sans train d'atterrissage complet et sans dégât majeur...
Oh, mince, je viens de divulgâcher !
