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Critique de Eroblin


C'est la troisième apparition d'un personnage que redoute le commissariat du 87è et surtout Carella: il s'agit d'un homme dont ils ne connaissent pas l'identité et qu'ils ont surnommé le Sourdingue car la seule chose que l'on sait de lui c'est qu'il porte un appareil auditif et qu'il s'amuse avec sa surdité en adoptant à chaque fois un dérivé de son nom.Le sourdingue est un gangster rusé voire machiavélique et qui, à chaque fois qu'il apparaît, en fait voir de toutes les couleurs à notre Carella préféré, il l'a même blessé grièvement lors de leur premier duel. Car pour ce personnage c'est un duel, il aime provoquer Carella et le pousser dans ses retranchements. Dans ce roman, le Sourdingue envoie régulièrement au 87ème des clichés représentant J. Edgar Hoover, le général Washington, une star du muet et un avion japonais. Autant d'indices censés faire comprendre aux inspecteurs que le Sourdingue prépare un coup, oui mais lequel? Et comme toujours c'est le hasard qui permet à Carella et aux autres inspecteurs de déjouer les plans de leur ennemi n°1 qui disparaît dans la nature. J'ai remarqué que les apparitions du Sourdingue donnaient lieu à des intrigues plus corsées que d'habitude et qu'il y avait plus d'humour. Dernière chose, dans ce tome Kling rencontre une superbe mannequin qui va devenir sa femme.
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