Dickens semble bien léger comparé à ce qui attend Francie, l'époque victorienne a toujours ou souvent été dépeinte avec cette noirceur teintée d'un fatalisme littéraire mais dans ce roman qui se déroule dans les années 60, mise à part la Pig Toll tax très drôle, on sait que le pire va arriver, que Francie va commettre l'irréparable. La roue ne tourne pas pour lui, Alo, l'oncle providentiel est vite écarté. le film adapté par
Neil Jordan est plus optimiste, en tout cas la fin est très poétique. Reste un portrait plein de tendresse dans un monde brutal et standardisé. Il faut imaginer Francie rencontrant Kitten et prenant un petit déjeuner ensemble. On Pluto.
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