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Critique de Tigo
Science Fantasy.
Pern est une planète oubliée. Ses habitants ont oublié d'où ils venaient. Une seule chose subsiste, la peur des mythiques Fils d'argent. Ceux-ci sont un danger pour toute vie sur Pern. Néanmoins, voilà 400 ans qu'ils ne sont plus tombés. Les habitants pensent que le danger est définitivement écarté. Les chevaliers-dragons ne partagent pas cette opinion.
Cela faisait longtemps que j'entendais parler de la Ballade de Pern et j'ai enfin sauté le pas. L'univers est très original, des descendants de colons spatiaux qui ont tout oublié de leurs origines ainsi que la technologie. La société est redevenue médiévale. Une espèce indigène de Pern assimilable aux dragons terriens joue un rôle essentiel. Mais à l'inverse de leurs homologues terriens, chacun d'entre eux est lié à vie à un humain et leur relation est fusionnelle.
J'émet tout de même quelques réserves sur ce premier tome. En effet, les chapitres sont très longs (50 pages en moyenne) et de ce fait sont peu lisibles. Ainsi la première partie est très laborieuse à lire et ne présage pas du reste du roman. Une fois celle-ci passée, le roman se lit tout seul. A cela s'ajoute le fait que les personnages sont peu caractérisés, ce qui fait que l'on ne s'attache pas à eux au début. On sent qu'il s'agit du premier écrit de l'autrice.
Dans les points positifs, outre l'univers original, le personnage de Lessa est intéressant. C'est un personnage féminin qui n'est pas lisse. En effet, celle-ci est présentée comme ayant un caractère fort. de plus, elle ne laisse pas faire et n'hésite pas à prendre des initiatives. Il s'agit de traits de caractère inhabituels pour un personnage féminin à l'époque de la publication du roman.
En conclusion, ce premier tome, malgré ses défauts, montre un univers qui a l'air très prometteur. En plus d'innover sur certains points (personnages féminins). Je comprend pourquoi ce cycle est considéré comme majeur dans la Science-Fiction. Je lirai la suite.
Pern est une planète oubliée. Ses habitants ont oublié d'où ils venaient. Une seule chose subsiste, la peur des mythiques Fils d'argent. Ceux-ci sont un danger pour toute vie sur Pern. Néanmoins, voilà 400 ans qu'ils ne sont plus tombés. Les habitants pensent que le danger est définitivement écarté. Les chevaliers-dragons ne partagent pas cette opinion.
Cela faisait longtemps que j'entendais parler de la Ballade de Pern et j'ai enfin sauté le pas. L'univers est très original, des descendants de colons spatiaux qui ont tout oublié de leurs origines ainsi que la technologie. La société est redevenue médiévale. Une espèce indigène de Pern assimilable aux dragons terriens joue un rôle essentiel. Mais à l'inverse de leurs homologues terriens, chacun d'entre eux est lié à vie à un humain et leur relation est fusionnelle.
J'émet tout de même quelques réserves sur ce premier tome. En effet, les chapitres sont très longs (50 pages en moyenne) et de ce fait sont peu lisibles. Ainsi la première partie est très laborieuse à lire et ne présage pas du reste du roman. Une fois celle-ci passée, le roman se lit tout seul. A cela s'ajoute le fait que les personnages sont peu caractérisés, ce qui fait que l'on ne s'attache pas à eux au début. On sent qu'il s'agit du premier écrit de l'autrice.
Dans les points positifs, outre l'univers original, le personnage de Lessa est intéressant. C'est un personnage féminin qui n'est pas lisse. En effet, celle-ci est présentée comme ayant un caractère fort. de plus, elle ne laisse pas faire et n'hésite pas à prendre des initiatives. Il s'agit de traits de caractère inhabituels pour un personnage féminin à l'époque de la publication du roman.
En conclusion, ce premier tome, malgré ses défauts, montre un univers qui a l'air très prometteur. En plus d'innover sur certains points (personnages féminins). Je comprend pourquoi ce cycle est considéré comme majeur dans la Science-Fiction. Je lirai la suite.
