de Stalingrad aux années sida
La démarche est intéressante, reconstituer la vie de quelqu'un à partir du regard de ceux qui l'auraient connu, un peu comme un détective qui examinerait les poubelles d'un suspect.
Sa famille, ses débuts, son manque de repères, sa soif de reconnaissance, tout ça est formidablement écrit, et la scénographie est très visuelle, mais, mais j'ai zappé une bonne partie du livre,
Parce que franchement ses plans culs et autres excès sur des dizaines de pages sur un rythme de rap, c'est virtuose mais ça m'a rapidement lassé.
Noureev me fait penser à ces footballeurs talentueux, immensément riches, néanmoins odieux, parce que la gloire et l'argent n'ont pas été compensés par l'éducation.
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